UNE RÉPONSE DE LA CORED AUX PARTIS DÉNOMMÉS LÉGALISÉS DE LA GUINÉE ÉQUATORIALE
Dans les temps de l´Inquisition déshonorante, on disait que ”il n´existe pas pis inquisiteur que le converti”. Quant à lui les Bambaras, une tribu du Mali, dit : ”prends soin de la poule qui rit à une mandibule un battant, quand il bavarde avec le renard”. Comme il est déjà public, quelques forces politiques équato-guinéennes se sont réunies à Paris, la France, à un Sommet d´Unité le 28 janvier 2014, après qu´une Plate-forme appelée CORED a surgi. Cette Plate-forme s´est mise d´accord entre d´autres extrémités, de diriger une lettre au Président Obiang, pour lui proposer qu´il ouvrait un processus de Transition politique qu´il aurait à conduire à un grand Pacte de Construction nationale entre les peuples distincts de la Guinée Équatoriale.
En pénétrant dans le pacte, qui sera basé dans le respect mutuel et dans le dialogue permanent que formerait un gouvernement de transition, qui convoquera les élections constituantes, dont surgira le parlement qui aura à sanctionner la nouvelle Constitution que, soumise à l´approbation populaire, il sert d´un cadre à la nouvelle démocratie. Et tout cela, parce que la CORED entend qu´une Constitution faite pour justifier la dictature, ne peut pas servir à la Démocratie.
Près de la lettre, le Manifeste fait public était joint à une lettre aussi, comme conséquence du sommet rapporté. Bien, à la suite de celle-ci une lettre, le tyran guinéen a fait le propre. Au lieu de répondre aux propositions de la CORED avec d´autres propositions, avec l´acceptation ou non du dialogue, ce qu´il a fait. Le suivant : dans un ton rude et de la caserne; selon un langage de tranchées, et dans un style de dictateur il a répondu, à la carte en niant une légitimité à la CORED, en même temps que l´invitait à se soumettre à la légalité qu´il a imposée en Guinée Équatoriale. Pour un plus grand cynisme, le tyran se a permis le luxe de lui rappeler à la CORED que, les propositions que celle-là vers, elles sont déjà restées surpassées par les réformes politiques qu´il a introduites en Guinée Équatoriale. Mais ne contente pas avec l´antérieur, comme il fait toujours, il jette la pierre et cache la main, a traîné à l´opposition apprivoisée et l´a lancée, dans une course étourdie de sottise, contre la CORED.
Par ce qu´une série, de partis politiques, dans une attitude honteuse, des succursales d´un Parti auto-dénommé Démocratique de la Guinée Équatoriale se sont converties en opposition de l´opposition, en attaquant la CORED avec une propre fureur de laquais. Ils ont perdu toute dignité. Ils ont peur par son ”modus vivendi” : ils croient que la CORED aspire aussi, comme ceux-ci à manger des miettes qui tombent de la table du festin de la Dictature. Ils se sont habitués à manger aux dépens de la souffrance du peuple. Ils sont plus papistes que le Pape. Des estomacs reconnaissants, changés en voix de son maître. La caricature d´opposition que, pour être mis en place, ils n’ont que tartiner à la charrette du dictateur qu´ils disent combattre.
Comme conséquence de cette attitude, surgissent deux questions que la CORED formule à ces partis, appelés légalisé :
1).-la première question est la suivante : les partis qui ont signé ce manifeste infâme s’ils vont assumer aussi de tous les crimes de la dictature ?
2).-la deuxième question que nous leur voulons formuler est celle-ci : quand le peuple équato-guinéen ouvrira-t-il un historique processus, que non un processus historique à l´actuelle situation, vont aussi se solidariser avec ceux-ci ?
Finalement, la CORED veut lui dire au Parti Démocratique de la Guinée Équatoriale le suivant : s´il veut un débat politique national sérieux et de la hauteur, qui laisse utiliser aux licous; que lâche au bulle.
Fuente: CORED/LD