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Editorial

REFLEXION SUR L’INDISPENSABLE POLITIQUE DE RECONCILIATION NATIONALE EN GUINEE-ÉQUATORIALE


publicado por: Melle Marie-Caroline DE-MIREPOIX el 11/01/2007 19:03:00 CET

C’EST MA CONVICTION !
Par Manuel Ruben N’dongo, écrivain franco-africain, stratégiste politique/consultant ; « C’EST MA CONVICTION » est une Rubrique de Réflexion sur la sociologie politique en Guinée-Équatoriale.

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Paris, le 08 janvier 2007
Publication : SIGED/Paris/Depressburger/© 01-2007. M. R. N’dongo. Tous droits réservés.
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REFLEXION : C’est quoi la « réconciliation, » et que signifie-t-elle ? Quel sens ! ou quelle valeur accorder à cette noble phrase, vieille comme le monde ?

Parlons-en !

Depuis toujours, chez les communautés humaines de l’univers, « la réconciliation » a toujours été un passage logique pour construire la paix ! Mais aussi, un tremplin pour enraciner l’entente qui permet d’enterrer la « hache de guerre » lorsque les peuples se sont entredéchirés. Le salut de la réconciliation, de par son originalité, permet ainsi de transcender les clivages tribaux et raciaux des groupes ennemis atteints par le syndrome « HEM » (haine ethnique mortelle).
Mais avant de poursuivre notre réflexion sur la « réconciliation, » et pour comprendre un « peu » notre Histoire, voyons de par qui ! et de par comment les actes de réconciliation ou de coexistence pacifique ont servi la grande épopée humaine de notre ère.

DEFINISSONS – EN QUELQUES MOTS – LA RECONCILIATION !! Pour remonter brièvement à nos origines pas si lointaines datant seulement de l’apparition des écritures et des savoirs, en voici la « genèse » du salut ; selon l’Ancien et le Nouveau Testament, livres connus de par leurs composants de textes nourris de la connaissance : la « réconciliation, » c’est le salut !!

Mais salut, de quel « salut » s’agit-il ? « Salut » de qui et de quoi ? Pour quel bénéfice pour l’humanité, et pourquoi faire ?

Le terme évoque « la réconciliation comme un fait d’un, ou des individus envers la maison du Créateur de toutes choses ! et de ce même Créateur suprême de toutes choses envers son peuple ; de leur participation commune à une communauté à la fois réconciliée et réconciliatrice. De fait de ce point de vue éthique, le salut de la réconciliation peut être atteint dans sa plénitude au-delà des luttes, des querelles, de l’insignifiance et de la mortalité qui caractérise ce monde.

À la lecture des textes de l’Ancien et du Nouveau Testament, l’on constate qu’ils sont pleins d’enseignements, non seulement au sens de la vie et de la morale, mais aussi, dans les rapports que les États entretiennent avec leurs concitoyens ; Des rapports entre individus et leurs voisins ou encore, des rapports entre les ennemis ou des gens qui ne s’aiment pas entre eux ! les membres d’une même famille en conflits ; Les maîtres/serviteurs de la nation ou représentants du gouvernement… etc.

D’ailleurs, nos méthodes de gouverner les pays en Occident et en Orient ne sont pas éloignées des textes anciens évoqués plus haut. Car, nos cultures judéo-chrétiennes sont profondément imprégnés de religions monothéistes ; que l’on soit croyant, agnostique ou laïc ! les faits sont là.

Sur le « salut de la réconciliation, » les légendes recueillies dans les textes bibliques par Jacques de Voragine du pays génois (Ordre des Frères prêcheurs) nous éclaire sur le sujet : « Le temps de la réconciliation est celui dans lequel l’homme est capable de se remettre en cause en faisant fi à son propre orgueil pour s’entendre avec son prochain, et d’accepter de parler avec ses ennemis ou ses semblables pour le bien-être de la communauté. »

Dans l’Histoire contemporaine, l’on trouve également de nombreux acquis de la « réconciliation » qui ont fait progresser la paix en permettant à certains peuples, ennemis d’autrefois, de devenir pour toujours, des « frères-amis. » C’est le cas par exemple de la « réconciliation Franco-Allemande » bâtie juste après la seconde guerre mondiale et qui perdure.

De par notre histoire, nous apprenons également que d’autres peuples de par le monde ont relevé les mêmes défis.
Commençons par comprendre les vicissitudes de la IIe République et la renaissance économique de la France de Louis Napoléon Bonaparte sous le signe de la « réconciliation. »

En effet, après les traumatismes de 1848 qui avait désorienté la France Bonapartiste, le printemps 1852 marqua enfin l’entrée dans une phase de RECONCILIATION du pouvoir avec la nation. Le petit Prince-Président entreprit une série d’initiatives, à commencer par l’abrogation de l’État de siège (28 mars) puis, la paix sociale pour permettre la relance économique et l’expansion de la France. Parallèlement, d’importantes mesures furent prises, comme par exemple, l’attribution 30 millions de francs destinés au programme de logements sociaux, aux œuvres de charité, aux caisses des sociétés de secours mutuel… etc. Mais ce n’est pas tout ! car, Louis-Napoléon s’empressa pour relancer l’activité industrielle et financière. Faisant fi à son orgueil, il s’entoura des intellectuels proches ou éloignés, des riches entrepreneurs et des banquiers.

Les Rothschild, Schneider, Pereire et les autres faisaient partie du lot pour soutenir des réformes du « petit Prince-Président. »

L’audace de Louis Napoléon Bonaparte permit le redressement de la Bourse et la reprise du crédit à l’investissement. La politique industrielle était principalement axée vers la relance des activités tous azimuts, comme par exemple, les grands chantiers ferroviaires ; ce qui favorisa les échanges et stimula les secteurs charbonnier et métallurgique. Il fut également extirpé l’agriculture française de son état moyenâgeux. De plus, le monde ouvrier fut pacifié par la relance industrielle. Le printemps de 1852 donna ainsi naissance à une croissance économique forte, prélude d’une phase d’expansion qui a fait oublier les soucis économiques que la France avait connus depuis quelques années. Ainsi, Louis-Napoléon gagna son pari de la « réconciliation. »

Dans l’histoire des peuples, d’autres volontés humanistes ont été attirés par les esprits et les vents de la « réconciliation. » À titre d’exemple : Jusqu’en 1994, l’Afrique du Sud était gouvernée par un régime politique présidé par la minorité « blanche » qui avait mis en place un système de gouvernement basé sur l’apartheid. En février 1990, M. Frederik de Klerk, Président de la République Sud-africaine au pouvoir depuis septembre 1989, lança une « politique de réconciliation nationale » de grande envergure.
La légalisation des organisations opposées au régime d’apartheid et la libération des prisonniers politiques dont M. Nelson Mandela, dirigeant historique de l’ANC (African National Congress), marquèrent le premier pas vers une réintégration des populations « Black » dans la vie politique sud-africaine !! Choses impensables autre fois.

En 1960, M. Martin Luther King, Pasteur prêchant dans une église Baptiste à Montgomery (USA) a pris une part active dans la direction nationale du mouvement pour l´égalité des droits. Après avoir mis l´accent sur la RECONCILIATION, le Pasteur « Black » réclama « le changement » des mentalités pour plus d’égalités raciales aux USA. De par ses discours modérés, le prestige de M. King permit d´assurer que LA NON-VIOLENCE demeurait le fondement de sa pensée pour bâtir une société américaine multiraciale plus juste et RECONCILIEE.

Pour revenir à la situation politique équato-guinéenne qui nous interpelle d’hier à aujourd’hui, je suis tenté d’imaginer, que le « salut » peut être le dernier recours à la paix.

Si la Guinée-Équatoriale vit depuis des années une situation tragique de la « non-dialogue » constructive, c’est parce qu’elle n’a pas su profiter des occasions qui lui ont été offertes pour faire avancer les débats qui « réconcilient » les esprits et les hommes.

Ce qui complique encore la situation du pays c’est l’absence de culture politique et la singularité ethnique et tribale propre à la Guinée-équatoriale. Peuplées majoritairement par les Fang-Ocack & Fang N’toumou ; Les Bengas, les N’dowés, les Bujebas et les Pygmées (partie continentale) et, composée également des Bubis, des Créoles et d’Annobonais (partie insulaire), les premiers dirigeants politiques de la Guinée-équatoriale n’ont pas su faire face aux spécificités ethniques et socioculturelles du pays pour jeter les bases d’un « projet de société » fiable qui aurait permis d’intégrer tout le monde dans la gestion des affaire publiques et ce, sans sectarisme et sans népotisme. Malheureusement, nous, hommes et femmes du pouvoir et d’à côté appuyant le système existant depuis la décolonisation, nous nous sommes contentés de faire du bricolage constitutionnel et des arrangements politiciens pour maintenir artificiellement certaines personnes à de fonctions ministérielles par des critères purement ethniques qui découlent du tribalisme et du racisme. Et pourtant, pour enraciner la démocratie et la réconciliation, il aurait fallu faire plus que de simples « mesures » de nominations politiques ; car la réconciliation ainsi acquise sur des bases saines permettrait de rassembler divers groupes sociaux pour qu’ils fassent partie d’un vaste espace politique national non marécageux pour, non seulement dire OUI à l’unisson-nous, mais également, bâtir un seul peuple, une seule culture, un seul régime politique, pluriel et profondément dédramatisé.

Mais fut de mieux, nous en sommes là ! la Guinée-équatoriale est là, stagnée au milieu de nulle part.

Faute de perspectives immédiates d’ouverture politique – la manne pétrolière aidante – ici ou là, ailleurs et en Guinée-équatoriale même, chaque individu ou chaque groupe social peaufine sa propre stratégie de conquête ou de reconquête du pouvoir avec pour seul but : s’approprier des richesses nationales, reproduire les effets pervers des violences politiques, de vengeances stériles et des atrocités à l’encontre des individus et de groupes ethniques que l’on déteste. Et pourtant, le pays est en attente et espère que « quelque chose » bouge dans le bon sens pour sortir le pays de la division ethnique et du sous-développement.

Personnellement, je pense qu’il faut une autre éthique politique en Guinée-équatoriale qui rétablisse le sens de la famille, de l’unité nationale et de la coexistence fraternelle entre divers groupes sociaux.
Il faut cesser ces querelles stupides engendrées par le tribalisme « ataviste » qui a toujours nourri les esprits des N’toumou contre les Ocack et les autres tribus. Il faut également cesser de sous-estimer les insulaires que l’on traite « dédainement » d’alcoolos buveurs de vins et de tôpé(1). Les Bubis, les Annobonais et les autres « minoritaires » ethniques doivent aussi savoir que tous les Fang ne sont pas des coupes-gorges. Enfin, il faut cesser d’imaginer, que si un Ocack ou une personne issue d’un autre groupe social accédait au pouvoir en Guinée-équatoriale, il se vengerait contre telle ou telle ethnie, telle ou telle personne. Avoir des idées aussi noires pour maintenir une telle pensée rétrograde sous le fond de luttes fratricides, constitue à mes yeux, un aveu de faiblesse intellectuelle qui tend à mettre en cage la culture de la connaissance et des savoirs.

Ce n’est pas de la morale politique que d’introduire les violences dans les débats d’idées !! Car les vraies valeurs de la démocratie politique consistent à protéger tous les citoyens quel qu’ils soient et d’où qu’ils viennent ; Les vraies valeurs de la liberté politique d’un État de Droit c’est de respecter mais aussi, d’appliquer la charte des Droits de l’Homme telle qu’elle est définie dans sa déclaration universelle. Le vrai pouvoir politique qui émane de la démocratie du peuple, c’est de donner la parole à tout le monde, c’est aussi d’accepter de partager le pouvoir et des responsabilités publiques ; c’est donner la chance à tout un chacun, développer l’économie du pays, insérer & réinsérer socialement des personnes les plus démunies et ce, sans aucune discrimination. Bref gouverner c’est prévenir contre les dangers de la société ; c’est de s’assumer, incarner l’unité et être l’homme du terrain qui concilie et rassemble son peuple des citoyens.

Dans la recherche des équilibres institutionnelles pour le maintien de la cohésion sociale, il faut une grande habilité politique pour trouver des hommes et des femmes que l’on a besoin pour sortir le pays de la crise. Ces hommes et femmes de qualité, doivent être choisis, non pas par rapport à leur appartenance à un groupe social ou ethnique, mais en fonction de leurs compétences politiques et de la volonté qui les animent pour promouvoir les mutations économiques et sociales, indispensables à une société de progrès.

Mais nous avons eu tendance à imaginer, qu’en nommant un Premier Ministre ethnique, cela suffirait à transcender les clivages tribaux et à régler les problèmes socioéconomiques du pays.

Erreur ! car, nous sommes loin du compte comme nous allons le voir : En 27 ans (1979-2006) du régime politique post M. Francisco Macias Nguema, la Guinée-équatoriale a connu pas moins de six Premier-ministres ethniques, tous issus de la même mouvance tribale, Bubis : MM. Eulogio Oyo-Riqueza, Silvestre Siale-Bileka, Cristino Seriche Malabo Bioko, Candido Muatetemas-Rivas, Miguel Abia-Biteo… ! soit, une moyenne d’un Premier Ministre tous les cinq ans et quatre mois. Résultat : la Guinée-équatoriale se porte si mal, tant à Malabo (partie insulaire) d’où sont originaires les susnommés, que dans la partie continentale. Les populations Bubis, Annobonais et Fang qui crèvent de la misère et des maladies se demandent où sont passé les bilans économiques des gouvernements successifs Bubis ? 27 Ans à la tête des affaires publiques du pays pour des résultats nuls.

Le constat est effrayant ! l’enrichissement illicite de ces seigneurs a asséché les caisses de l’État. Au lieu de s’atteler à appliquer une politique de réconciliation et de redressement économique, ils ont plutôt pris goût à l’appât du gain en pillant systématiquement le trésor public pour garnir leurs comptes bancaires à l’étranger et principalement, au Nigeria, pays de corruption mondiale par excellence.
Bien sûr que j’entends des voix qui me disent : « Mr Ruben N’dongo, ces Messieurs ont été nommés pour amuser la galerie… » Mais en fait, lorsque l’on est appelé pour assumer un poste à responsabilité comme celui d’un chef du gouvernement… ! l’on est censé négocier les « conditions pour l’exercice de ses nouvelles fonctions… » Et s’il s’avérait que l’on est dans l’incapacité de conduire une politique responsable, eh bien ! on tire les conséquences. C’est-à-dire, que l’on remet sa démission. Or, à ma connaissance, je ne connais aucun chef du gouvernement équato-guinéen qui ait remis sa démission au chef de l’État pour un désaccord politique.

Lors de la nomination – il y a quelques mois – du dernier chef du gouvernement, certaines voix se sont levées ici ou là pour stigmatiser la décision de cette nomination. Mais je ne partage pas le même avis car, rien n’empêche qu’un Fang soit chef du gouvernement s’il s’agit de quelqu’un qui réunit les conditions nécessaires pour redresser la situation économique, construire la paix, établir la démocratie politique et réconcilier divers groupes sociaux qui composent la société équato-guinéenne.
La désignation d’un chef du gouvernement ne doit pas être assimilée à une nomination ethnique d’une fonction « à vie ! » de même qu’une telle désignation ne peut se faire sur la base des critères ethniques, mais sur des compétences et la volonté de la personne nommée de se soumettre à l’éthique de la société pour être au service de la nation et des citoyens toutes races confondues.

Mais la question que l’on peut effectivement se poser est de savoir si la nomination de l’actuel chef du gouvernement correspond à l’esprit des attentes de la communauté internationale et de la population équato-guinéenne !! On peut aussi se demander, si cet homme a la volonté politique pour changer quelque chose ; ou bien ! il est là, comme ses prédécesseurs, juste pour rehausser ses coffres forts et faire tourner la planche à billets au profit de ses intérêts personnels.

Tout compte fait, la Guinée-équatoriale attend toujours l’hypothétique changement.

Chers concitoyens, si nous voulons opérer des changements substantiels, nous devons accepter de faire face à l’histoire plutôt que de la fuir !! Nous devons accepter d’affronter les réalités politiques de notre temps pour écrire les belles pages de notre Histoire.

Car quel qu’en soient nos propres responsabilités publiques, nos failles dans le langage et nos imperfections à gouverner correctement, notre devoir à nous ! nous, hommes et femmes de la vie publique, c’est d’aller devant la scène pour parler VRAI ; Prononcer « les mots » qui changent la vie et le destin de tout un peuple qui attend le salut après une longue souffrance.
Notre devoir, c’est aussi de dire tout haut que nous nous sommes trompés sur beaucoup des choses ; Que nous avons commis des erreurs et des imperfections dans la gestion de la « chose » publique, que nous demandons le GRAND PARDON qui émane du peuple ! et que nous aussi, nous pardonnions à nos « ennemis » et vice-versa afin d’avancer dans le bon sens. Car si nous nous refusons systématiquement d’affronter l’histoire face à nos propres contractions, nous risquerions, à notre tour, d’être rattrapé pas l’Histoire qui, cette fois-là, risque de nous juger parce que nous n’avons pas osé ! parce que nous avons eu peur de regarder dans les yeux de nos adversaires politiques pour se dire de vérités.

Bien sûr que l’appât du gain et l’argent facile rendent aveugle pour ne plus se rendre à l’évidence, que la vie est un jeu à somme nulle ! une immense roue rotative, un jeu du gendarme et le voleur. Car si ce dernier peut courir quatre-vingt-dix jours sans être attrapé, mais un jour, le gendarme fini par trouver des failles qui feront tomber le petit coureur malin dans les mails du filet.

De même que je ne suis pas partisan de la méthode forte et musclée dans un jeu politique qui doit rester sain et transparent, de même que je ne détiens aucun trousseau des clés de la « maison Guinée-équatoriale » pour empêcher tel ou tel groupe politique ou social d’agir à sa guise pour une sale besogne.
Ce dont je me sens capable, c’est de lancer – aussi longtemps que possible – un appel à la réconciliation et au rassemblement du peuple équato-guinéen afin qu’ensemble, nous puissions relever les grands défis pour construire l’avenir de nos futures générations, car elles n’ont pas le droit de devenir les victimes de nos incohérences et de nos irresponsabilités politiques.

Chers concitoyens, sauvons cette génération future ! donnons-nous les moyens politiques et intellectuels pour agir rapidement dans ce sens. Je vous incite à la réflexion pour enrichir les débats politiques qui agitent les esprits dans le pays. Et dans un esprit de responsabilité, ouvrons les yeux pour trouver la voie saine qui nous permet de rester unis pour bâtir notre avenir commun.

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Manuel Ruben N’dongo,

_______________________________
(1) Boisson locale produite à Malabo à base de cœurs de palmiers.




Fuente: A. DePressburger - PARIS

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