Manuel Ruben N’dongo, écrivain, politologue stratégiste & consultant en sociologie spécialisé du monde de l’économie informelle se félicite de la libération de M. Felipe Ondó Obiang ainsi que de nombreux autres concitoyens (MM. Guillermo Nguema Elá, Santiago Elá Obiang, Juan Ovono Obiang, Patricio Ndong Bee, Angel Ovono Akumbega, Donato Ondó-Ondó, Pablo Nguema Mba, Norberto Evuna Micó, Antonio Ovono Ondó, Primo Michá Obiang, Mariano Ekuaga Sima… etc.) libérés par décision gouvernementale émanant de la présidence de la République de Guinée-équatoriale.

Cette libération des prisonniers n’a été rendue possible que grâce à la volonté manifeste du chef de l’Etat équato-guinéen, S.E. Monsieur Teodoro Obiang Nguema – que je salue au passage – qui vient de franchir là un nouveau pas qui inaugure une ère nouvelle pour le processus de réconciliation nationale en Guinée-équatoriale.

Comme je l’ai indiqué dans mon message de vœux du 27 décembre 2007 à la veille de la St Sylvestre, « que je n’appartenais plus à aucun parti ni à une quelconque obédience idéologique ethnico-partisane. »
Homme d’esprit libre qui n’est soumis à aucun groupe de pression, de par mes réflexions politiques & philosophiques, je continuerai à œuvrer pour aider l’Afrique, et la Guinée-équatoriale en particulier à relever les défis du sous-développement, et surtout, à promouvoir la paix.

D’hier à aujourd’hui, plus que jamais, la Guinée-équatoriale a besoin d’affermir ses liens internes toutes tribus confondues afin de transcender les clivages politico-ethniques pour mieux affronter les défis du futur. La défense de notre identité nationale et de notre intégrité territoriale héritée de la colonisation, la conservation de nos valeurs culturelles et la protection de notre patrimoine national pour le bien-être de nos futures générations doivent être notre priorité absolue afin de combattre, à armes égales, toutes formes d’adversités.

C’est pour cela que j’estime, que le désir de rassemblement des bonnes volontés nationales doit animer les esprits combattants au delà des considérations partisanes. La défense nationale est à ce prix.

S’agissant de l’avenir économique et politique de la Guinée-équatoriale, il est temps pour le pays d’enterrer « l’hache de guerre » tribale qui déchire les consciences nationales depuis la décolonisation. Sans l’unité nationale, nulle nation ne peut faire face aux dangers qui le menacent.
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Manuel Ruben N’dongo.
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Fuente: Mme Depressburgers - PARIS

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